this is HOLLOMAN, KALE HOLLOMAN, asshole !

Euuuh... je vais résumer en un 'merci' général

Je suis toujours indécise, ne bavez pas encore

SEEEETTHHHHHHHHH [...]
* va craqué son slip ailleurs *

J'aime les inconnus
Merci
Et merci pour lui (même si, honte à moi, je ne connais Seth Cohen que de nom )

Seth c'est l'homme le plus drôle de la terre entière

Queen ~> Je n'en doute pas même si je suis certaine d'en connaître de plus marrants

Conor ~>

Bienvenue

Merci

Et désolée pour les fans de Pada ou Adam mais j'ai jeté mon dévolu sur Ryan Eggold, finalement

*PASSE LA TÊTE*

Il est orgasmiquement sublimissime, bon choix.
Dixit l'épouse fidèle et amoureuse de son mari *ZBAF*

Mon Ryan
Je te le réserve ?

Oui, s'il te plaît

*je veille*

Je t'aime aussi mon épouse

Woody (mon cowboy préféré *BAF*) ~> Il semblerait que Ryan soit un prénom pour les vainqueurs
Merki

That's my story and I'm stickin' to it;



Debout, mains dans les poches, Kale regardait droit devant lui. Les passants qui le croisaient s’imaginaient qu’il était fou à dévisager le vide depuis près d’une heure. Sauf qu’il n’était pas simple d’esprit, perdu ou autre. Il attendait. Il ignorait encore combien de temps il devrait se les geler sur ce foutu trottoir mais il tenait bon. Pour elle. Parce qu’il ne pouvait pas la manquer. Même s’il était peut-être déjà trop tard.

« Qu’est-ce que tu fais là ? »

Un quart de seconde, il lui avait suffi de cligner les yeux un quart de seconde pour la voir apparaître. S’il avait su, il l’aurait fait plus tôt.

« Je t’attendais. »
« Je t’avais demandé de ne pas venir. »
« En sachant très bien que j'allais venir quand même. »
« T’es rien qu’un abruti. »
« C’est pas la première fois qu’on me le dit. »
« Ah ouais ? Et t’as jamais pensé à te remettre en question ? »
« Non parce que les personnes qui me traitent d’abruti m’aiment comme ça. »
« Ils sont beaucoup ? »
« Une… »
« … »
« Je veux pas que tu partes. »

Kale fit un pas en avant, comme pour la prendre dans ses bras mais Ginnie se déroba.

« On en a déjà discuté. Ce n’est pas moi qui ai décidé, je me contente d’obéir. »
« Je ne veux pas. »
« Je vais revenir, on restera en contact. »

Le jeune homme hocha la tête, peu convaincu. Il n’avait jamais vécu de relation à distance mais n’en avait entendu que du mal. Il ne souhaitait pas prendre le risque de voir celle qu’il aimait partir. Sauf qu’il ne pouvait rien pour l’empêcher. Il avait bien songé à rentrer chez elle par effraction et à l’enlever des griffes de son père, comme un preux chevalier en armure. Mais elle habitait dans une maison tenant du château fort et il n’aurait jamais réussi à grimper jusqu’à sa fenêtre. Seuls les films étaient en mesure de faire fonctionner un plan pareil.

« Je ne veux pas que tu partes. »
« Tu l’as déjà dit. »
« Alors tu dois me croire maintenant. »
« Je te crois. Ca ne change rien. »

Un téléphone vibra, celui de Kale. Il le tira de sa poche pour prendre connaissance du nom qui cherchait à le joindre ; il ne répondit pas, néanmoins un léger sourire se forma sur ses lèvres.

« C’est qui ? »
« Violet, on a prévu un cinéma ce soir et… »
« Je ne suis pas encore partie que tu me remplaces déjà. »
« Ca n’a rien à voir, c’est juste une amie. »
« C’est ça. »
« Je ne veux pas que tu p… »
« Et moi je le veux. »

Holloman fronça les sourcils en cherchant du regard une quelconque indication du contraire dans les yeux de Ginnie qui semblait résolue. Alors il en était ainsi. Elle préférait se fermer complètement à lui au lieu de profiter des dernières minutes qu’il leur restait. Ainsi les années à jouer au chat et à la souris n’avait été que futilités adolescentes qui ne les mèneraient nulle part. Un klaxon en provenance du trottoir d’en face indiqua que la voiture était chargée et prête à partir. La jeune Emerson vint se blottir tout contre lui pendant une seconde, il n’eut pas l’opportunité de serrer ses bras autour d’elle que, déjà, elle mettait fin à leur étreinte et traverser la route. Kale la suivit du regard sans rien oser dire, elle avait fait son choix. C’est seulement lorsque le véhicule démarra qu’il s’autorisa un moment de faiblesse ; il serra les poings et baissa les yeux. Elle était partie. Pour un temps relativement court en comparaison d’une vie, pourtant il ne pouvait s’empêcher de penser que rien ne serait plus jamais comme avant. Il avait mal à la tête rien que d’y penser, ça n’était rien en comparaison avec l’étau dans lequel se trouvait son cœur. Il ne lui avait même pas dit qu’il l’aimait. Il était trop jeune pour le dire, pas pour le penser.

« Je t’aime, Ginnie Emerson, » murmura-t-il en renfonçant ses mains dans ses poches et en tournant les talons. Vers un futur sans elle.



Un sommeil, même sans rêve, reste un moment agréable, surtout pour un étudiant en dernière année ayant passé ses dernières soirées à réviser jusqu’à des heures peu recommandables. Alors que les prochains examens n’approchaient pas si rapidement que cela. Kale souhaitait profiter de cet instant de repos mérité un peu plus longtemps, d’autant plus qu’un professeur étant absent, il commencé plus tard qu’à l’ordinaire. Du positif en perspective. Alors pourquoi se retrouvait-il soudainement si agité, les yeux clos, dans son lit vide ? Un boucan métallique acheva de le réveiller – ou presque. Le regard vaseux, il s’extirpa du lit et se dirigea d’une démarche chancelante vers la source du bruit inopportun qui avait mis précocement terme à son semblant de grasse matinée.

« Bonnie ? »

Se frottant les yeux à l’aide de sa paume pour s’assurer qu’il n’était pas victime d’une vision, il resta pantois, ne sachant que dire et quoi faire face à sa meilleure amie très matinale.

« Il est… »
« Sept heure du matin, je sais. Comme j’avais vu sur ton emploi du temps que tu ne commençais pas avant huit heure et demi, je me suis dit que j’allais te préparer ton petit déjeuner. Je ne voulais pas te réveiller avant d’avoir tout fini mais voilà… tadam ! »
« Je… C’est super gentil de ta part… »
« Mais… ? »

La brunette, une poêle à la main, le dévisagea avec inquiétude. Cet air prit Kale au dépourvu ; il ne pouvait pas lui annoncer qu’elle l’avait réveillé beaucoup trop tôt, gâchant ainsi le peu de repos qu’il s’offrait de temps à autre.

« Mais j’avais encore des céréales, ça m’aurait largement suffi, tu sais ! »
« Ne dis pas n’importe quoi, mes pancakes sont largement meilleurs. »
« Je vais vérifier ça, pour en être bien certain, » répondit-il avec un sourire en prenant place sur un tabouret, laissant l’unique chaise disponible à son amie. Il se servit une bonne couche de pancakes qu’il saupoudra de sucre avant d’en enfourner un. Ils étaient vraiment délicieux, faits avec amour, ça se sentait dans la pâte.
« Au fait, tu avais des messages, j’ai fait une fausse manip’ et je les ai écoutés sans le faire exprès. »
« Ah… » Aucune chance qu’il ne la croit, cependant il ne jugea pas utile de commenter.
« Si je me souviens bien, le premier était d’Aghilas. Il disait vouloir sortir boire un verre ce soir à l’Universum avec je-ne-sais-plus-qui d’autres. »
« Cool, j’irai peut-être faire un tour, ça te dit ? »
« Justement, le deuxième message était de Conor : elle veut sortir à l’Universum ce soir et te demande expressément de ne pas te montrer parce que, je cite, elle ne veut pas voir ta sale tête de cocker. »
« D’accord. »
« Tu vas y aller quand même, pas vrai ? »
« Bien sûr ! »
« Quand est-ce que vous allez réussir à passer au-dessus de tout ça ? »
« Quand elle évoluera… »
« Tu n’es pas mieux qu’elle. »
« Tu n’es pas sensée me défendre bec et ongles ? »
« C’est une peste. »
« On est d’accord. »
« Et toi t’es une andouille. »
« Une andouille désespérément amoureuse de tes pancakes… »
« Je t’avais dit que tes stupides céréales ne faisaient pas le poids. »

Tout compte fait, se lever tôt n’était pas si mal.

Triple-post, bouuuuh, je crains

Mais j'ai terminé. En pile poil une semaine parce que j'ai trop le style

Je valideeee

C'est trop un honneur, merci

HAAAAAAAAAAAN.

OHMONDIEUC'ESTMAGNIFIQUEMERVEILLEUXJEPLEURED'AMOURC'ESTSOMPTUEUXMAMANJ'AIMEKALE.

BAHMERCIPOURLUIJESUISCONTENTEQUETUL'AIMESPARCEQUEC'ETAITLACEQUEJEVOULAIS