Carla Mckenzie (10o% chargement }

C'est pour la petite bourgeoisie qui boit du champagne,
C'est pour tous les quotas Francais que j'parle plus anglais,
I'm a crazy, I'm just fond of you,
And all the piles of money that grow next to you.
C'est pour la petite bourgeoisie qui flâne à Hawaï
Qui s'paie des bulles diamant, la coupe de champagne
I'm a crazy, i'm just fond of you,
And all the piles of money that grows next to you

(c) - Mash Kylian

Please allow me to introduce myself;

Nom :McKenzie. Le nom de famille de son père. Peut être aussi la seule chose qui les lie vraiment. Carla a un père très absent, qu’elle ne voit qu’une fois tout les 4 mois. Toujours en mission celui là. McKenzie est un patronyme très répandu en Amérique, en Angleterre mais aussi en Australie (le pays d’origine de notre petite).

Prénom(s) :Le prénom de Carla a été choisit par Daniel Mckenzie, son père en personne. C’était celui de la grand-mère de ce dernier, qui avait été un élément clef dans sa vie. Une femme que Carla n’a jamais eu l’occasion de rencontrer, puisqu’elle est décédée un peu avant la naissance de celle-ci. Quant au second prénom, Inas, c’est sa mère qui l’a choisit. Etant également d’origine égyptienne, bien qu’elle n’ait jamais eu l’occasion de vivre sur sa terre maternelle, elle reste néanmoins très fière de son origine.

Surnom(s) :Oh les surnoms Carla en a une centaine, mais les plus fréquents sont Carlou, Carl', Lounette et puis il y a aussi Caca' (pour la rendre furax)

Âge :Bien que la bienséance demande à ce qu’on ne demande jamais l’âge d’une femme, j’accepte volontiers de vous délivrer celui de Carla. Née le 14 mai 1986, vous l’aurez compris cette petite, de signe taureau à exactement 22 ans et 5 mois.

Occupation :Vous serez surpris par la maitrise de la belle avec les langues étrangère. Parlant couramment l’anglais, le français et l’italien. En cours d’apprentissage d’espagnol, et dernièrement elle s’est mise à l’arabe. Elle fait donc vous l’aurez compris une fac de lettre. Aussi, elle a une seconde occupation, la photographie. Financièrement parlant, Carla ne travaille pas, c’est sa mère qui chaque mois, se rend gentiment à la banque pour lui remplir son compte. C’est beau d’être riche.

Maybe you should know;

Trois choses importantes à savoir sur le personnage.

You don't know me, my name is body;

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Premières impressions sur le forum? :

Han comment ça fait plaisir de te revoir sur des forums
SMGP je te la réserve
Bienvenue

Ouh.

Moi aussi, ça me fait plaisir d'être sur ton forum ma petite Charlotte. calinco

Merci bien. Love

Carla Mckenzie (10o% chargement } 113187

SMG

Bienvenue Freedent

Bienvenue ici

Oh merci vous deux. big kiss

Oh merci beaucoup. Love

That's my story and I'm stickin' to it;

Il était une fois, c’est comme ça que les comtes de fée commencent. Et il faut avouer que sa vie entière n’a jamais été aussi comte de fée qu’elle ne le prétend. Née un 14 mai de l’année 1986 dans un grand hôpital à Budapest de bonne réputation, Carla a vu le jour dans une grande famille. Les McKenzie. Ne manquer de rien, tel été la philosophie de ces parents, pourtant si il y a bien une chose qui lui manquait c’était leurs amours, et plus particulièrement celle de son père qui n’était que très rarement présent à la maison. Sa mère, quant à elle, avait tout le temps des problèmes. Et pour ne rien vous cacher, elle se les créait toute seule. C’était donc dans cette atmosphère que Carla, et sa jeune sœur Kelly avait grandi, une mère à psychologue et un père trop absent. Kelly et Carla savaient pourtant qu’elle pouvait toujours compter l’une sur l’autre, et des leur plus jeune âge une certaines complicité s’était installée entre les deux sœurs. Alors que l’ainé se montrait protectrice envers la benjamine, celle-ci avait été une petite source de sourire pour son ainée. Bon c’est vrai qu’il y avait la nounou, Madame Vandeberg qui savait aussi être très à l’écoute pour les deux jeunes McKenzie. Madame Vandeberg, c’était une seconde maman, lorsque Madame Mckenzie n’allait pas bien. Sinon lorsque Sonia allait bien, elle essayait tant bien que mal de jouer les mères parfaites. Trêve d’hypocrisie bien entendu. Et les deux petites filles savaient littéralement que cette petite scène que leur mère se mettait à jouer n’était que provisoire, mais elles restaient tout de même heureuses lorsqu’elle était dans cet état. Carla avait toujours aussi dit qu’elle aurait été capable de résumer sa vie en trois partie. Son enfance, qui bien qu’elle pouvait avoir la dernière barbie, ou même la dernière basket qui faisait de la lumière elle savait qu’elle n’aurait pas ce que tout les enfants avaient. En deuxième partie son adolescence, l’âge vilain ou elle a eu droit à sa première fois. Et enfin son âge adulte, avec de grosse difficulté à être responsable, qu’elle donne une image contraire.

« Un enfant superactif. »

Monsieur Hans, un vieil homme d’une bonne soixantaine d’année se tenait devant la mère de Carla et Kelly. Monsieur Hans c’était… Euh en faite Carla n’a jamais su définir le statut de Monsieur Hans. C’était celui qui faisait tout à la maison, lorsque son père n’était pas là. Il s’occupait d’appeler le plombier lorsqu’il y avait des problèmes de canalisation, de payer les factures. La famille Mckenzie avait une confiance à part entière en cet homme, et il le rendait bien. Il faisait toujours des heures en plus, mais refusé catégoriquement de se voir récompenser sur son salaire. Madame Mckenzie était dans le salon à faire des mots croisé tout en surveillant ses deux filles qui jouaient sur le tapis. Elle leva donc la tête vers son employer :

MONSIEUR HANS: Madame, votre mari est arrivé.

MADAME MCKENZIE : Oh !! Où est-il ?

CARLA : Papa est arrivé de son voyage ?

KELLY : Papa est arrivé de son voyage ?

CARLA : Arrête de me recopier.

KELLY : Je ne t’ai pas recopié.

CARLA : Si, tu es un petite menteuse. Tu fais toujours tout ce que…

MONSIEUR MCKENZIE : Oh !!! Mes petites princesses adorées. Venez là que je vous embrasse. Vous m’avez tellement manqué.

Carla et Kelly âgées respectivement de 7 et 5 ans, coururent dans les bras musclés de leur papa. C’était bien rare qu’il soit à la maison, et encore moins qu’il ne leur offre une marque d’affection. Après les avoir serrés dans ses bras, il se leva pour embrasser sa dulcinée. Elle aussi lui avait manqué, mais il est sans compter qu’il avait aussi eu une aventure à Londres. A quoi bon faire une tête choqué, tout le monde s’en doutait. Même Madame Mckenzie.

MONSIEUR MCKENZIE : Qui a été la plus sage ?

KELLY : Moi.

CARLA : Non c’est moi !

MONSIEUR MCKENZIE : Bon ok, on va dire que c’est vous deux. C’est pour ça que je vous ai à toute les deux ramené de super cadeau, tous les enfants anglais rêvent de les avoir.

CARLA : Je veux mon cadeau.

KELLY : Je veux mon cadeau.

Après avoir donné un coup de coude à sa petite sœur, ce qui n’avait pas échappé à ses parents. Carla et Kelly se dirigèrent donc vers les bagages de leur père. Oui mais le problème, ce fut que Carla voulant arriver la première se prit le pied dans un tapi, et se trouva tête la première à heurter un coin de mur. Après des cris et des pleurs, inquiet pour leur fille, ils se dirigèrent à l’hôpital le plus prés. Carla s’était malgré sa bosse sur le front rendu compte que bien qu’ils soient trop absent pour elle (je parle de ses parents). Ils pouvaient aussi se montrer très responsables.

LE MEDECIN : Oh, ce n’était rien de bien grave. Il faut juste appliquer la pommade tout les jours, pour que ça ne laisse pas de trace sur votre joli petit front.

CARLA : Je peux avoir une sucette comme la dernière fois.

LE MEDECIN : (riant) Bien sur. Et tiens pour toi aussi (en tendant une sucette aussi à Kelly)

CARLA : Merci.

KELLY : Merci.

« Age de l’insouciance. »

La fête de Mellie, une fête qui avait raisonné dans toutes les bouches. Qui ne rêvait pas de s’y rendre, il y allait avoir tout les beaux garçons du lycée. De la bonne musique, et surtout de l’alcool, et plein de produit illicites, mais tout le monde voulait y être. Carla et Mark avait bien entendu été invité en temps que VIP, Mark ? C’était le petit ami de Carla, toutes leurs années de lycée. Mais lors de la fête à Mellie, il n’était ensemble que depuis peu. Agé tout deux de 16 et 17 ans. Carla pour l’occasion avait mis la plus belle robe que son Immense placard pouvait contenir. Quant à Mark, il avait toujours su être classe. 19 h, ce fut l’heure exacte où le beau brun vint sonner à la porte de sa nouvelle dulcinée. Ce fut Kelly la peste qui lui ouvrit la porte.

KELLY : Tiens, Bonsoir.

MARK : Bonsoir… Hum, je viens… Hum chercher Carla pour…

KELLY : C’est toi Mark ? C’est que ma sœur a de bon gout dit moi. Tu sais, elle se prépare depuis…

CARLA : (sautant sur sa sœur pour lui fermer sa bouche) Oh Mark !! Tu vas bien ?

MARK : (la regardant de haut en bas). Tu es splendide.

KELLY : Bon les amoureux ce n’est pas tout, mais vous permettez que je vous prenne en photo.

CARLA : Kelly, tu te souviens de ce que je t’ai dit la dernière fois ?

KELLY : …

CARLA : C’est ce que je me disais. Aurais-tu donc l’obligeance de te taire.

KELLY : BON ok, je me tais. Allait on se colle. Mark si tu pouvais mettre ta main un peu plus bas.

CARLA : Kelly !!!!

MARK : (en rigolant) Ouille.

KELLY : Cheese.

MARK ET CARLA : Cheeseeeeeee ! (tic, une photo souvenir.)

A la fête de Mellie, tous les élèves du lycée était présent. Après avoir salué deux, voir trois connaissances, Mark et Carla allèrent danser sur la piste. Ils sirotèrent leurs boissons respectives, et je ne sais comment se retrouvèrent dans une chambre à l’étage tout seul.

MARK : Tu es sur de vouloir le faire ici ?

CARLA : Je ne sais pas si c’est une bonne idée, mais je t’avoue que j’ai…Très envie… de toi.

MARK : Moi aussi.

Pirouette, Cacahuète, censuré. BIP. Vroum, trac, splash, boum tac. Bon, elle avait enfin eu le droit à sa première fois. C’était juste magnifique, bien qu’elle y avait pensé très longtemps, et avait hésité ne sachant pas vraiment si elle était prête ou pas. Alors qu’elle rentrait le soir même chez elle, Kelly a sa grande habitude lui sauta dessus pour savoir tout les détails.

CARLA : ça ne te regarde pas. Maintenant si tu veux bien me laisser aller dormir.

KELLY : Vous l’avez fait ? Oh mon dieu, et tu ne veux pas me raconter.

CARLA ; Non on ne le pas fait. Et mêle-toi de tes affaires.

KELLY : Je le sais quand tu mens, tu as ce petit sourire tordu. Allez s’il te plait.

CARLA : Non, non et non.

KELLY : Please.

CARLA : Non

…

« Adulte malgré tout.. »

Un petit appartement à elle toute seule en plein centre de Budapest, ce fut son cadeau d’anniversaire pour ses 19 ans. En même temps, c’était le cadeau ordinaire pour une fille à papa tel que Carla. L’appartement était plutôt chic, dans un immeuble à jeune bourge. Pourtant, Carl’ avait du mal à gérer toute seule. Le premier mois, elle avait fait une intoxication étant donné qu’elle n’avalait que des produits en conserve, chose que sa nounou Madame Vandeberg ne l’avait pas habitué. Elle avait pris des cours de cuisine aussi mais sans résultat. Carla venait aussi de rencontrer le garçon idéal. Esté’, du moins c’était comme ça qu’elle l’appelait. Et une chose est sur, c’est qu’il lui faisait de l’œil. Bon je sais que j’ai un peu sauté du coq à l’ane en passant de la bouffe au mec, mais en même temps c’était important de le préciser. La scène se passe lors d’une fête qu’elle avait organisé chez elle, elle en organisé souvent. Mais elle n’invitait jamais plus de 10 personnes, et sa meilleure amie Ebony l’avait poussé à invité Esteban. Tel fut sa surprise lorsqu’elle s’aperçu qu’il était venu.

CARLA : Hey !!
ESTEBAN : Bonsoir Carla. Pas mal ta fête.
CARLA : Ah oui tu trouves ? En tout cas, je suis contente que tu sois venu…
ESTEBAN : Hum… De même.
CARLA : … Alors quoi de neuf ?
ESTEBAN : Rien de spécial, j’ai encore quelques problèmes avec mon nouvel appartement. Il faut avouer que ce n’est pas si simple de vivre seul.
CARLA : Tu m’étonne. C’est la même chose pour moi.
EBONY : Vous parlez de moi ? Non parce que si c’est le cas dites le moi, hein ?
ESTEBAN : Euh…
CARLA : Esteban je te présente Ebony ma meilleure amie, et Ebony je te présente Esteban…
EBONY : Enchanté, Carla n’arrête pas de me parler de toi.
CARLA : (donnant un coup de coude à cette dernière)
ESTEBAN : Tiens donc ? Et elle dit quoi sur moi ?
CARLA : (changeant de sujet, en mettant dans sa bouche une petite friandise). J’espère que vous avez gouté à mes amuses gueules ? C’est les meilleurs du marché. Hum.
ESTEBAN ET EBONY : …
EBONY : Bon alors Esteban, tu fais quoi de ton temps libre ?
ESTEBAN : Je fais des études de psychologie.
EBONY :Ah oui, c’est vraie comme moi. Bon je vais vous laissez, ravi d’avoir fait ta connaissance Esteban et toi ma louloute on se voit plus tard. Tchous les amoureux.
CARLA : Euh… Désolé, elle est… Enfin. C’est ma Ebony.
ESTEBAN : Oh moins ! Elle nous a traité d’amoureux deux fois.
CARLA : … Oui, (tout en rougissant, et en finissant d’un trait son verre d’alcool).

Esteban n’était pas dupe. Et savait parfaitement qu’il plaisait à la belle Carla Mckenzie. Il la trouvait aussi à son gout, il faut l’avouer. Mais si il y a une chose qu’il voulait, c’était montrer aussi aux gosses de riche, qu’il fallait se battre par moment pour avoir ce que l’on veut. Chose que Carla est bien décidé à faire.

Bienvenue

Merciii

J'ai fini. Love

Je te valide Wink

Bon jeu

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